RETOUR DE BREST

On vient de rentrer de Cahors. Nos retrouvailles ont été très tendres,
calines, merveilleuses. On s'est beaucoup manqué.... Avant de
t'endormir, tu me dis, "demain journée sans culotte, je t'accordes juste
une mini jupe, bas et un soutien gorge. Et prépare ton cul aussi ! Ok ?"
"oui mon bébé". Le lendemain je file à la douche avant ton réveil, je
mets des bas, une jupette, soutien gorge, culotte et petit haut. A ton
réveil, le petit câlin terminé et ton café avalé, tu réalises que je
n'ai pas respecté tes consignes de la veille. "Attends c'est quoi ça
???? tu ne devais pas t'habiller comme ça !!!" "oui mais j'avais un peu
froid....", "et ben je vais te réchauffer moi !" tu me pousses sans
ménagement sur le canapé et tente de déchirer mon haut, il te résiste,
tu attrappes une paire de ciseau et l'entaille afin de pouvoir aisément
le déchirer. Tu viens de réaliser que j'ai aussi mis une culotte que tu
m'arraches violement. "Tu vas être punie pour m'avoir désobéis ! tu vas
porter le bijou anal toute la journée comme ça ton cul sera ouvert pour
moi, quand je le souhaiterais ! D'ailleurs non c'est moi qui vais te le
mettre au moins je suis sur que ce sera fait !" Tu montes chercher le
bijou, me fait mettre à 4 pattes sur le canapé et mouille mes orifices
avec ta langue, ce qui me fait de suite réagir mais tu ne t'attardes pas
et met en place l'objet. Je suis sur ma faim.... Grrrrrrrrrr ! Tu me
repousse sur le canapé afin que je sois assise face à toi, tu sors ta
queue tendue, m'attrappe par les cheveux et l'engouffre dans ma bouche.
Ta mains fait faire de grand va et vient de ma tête sur ta queue.
Parfois j'ai la nausée tant tu l'engouffre profondément. Quand tu
estimes que je te suces mal les coups de martinet single mes bras, mon
dos, mes seins. Au moment de jouir, tu ressors ta queue, et me dis de te
regarder en gardant les lèvres à peine entrouvertes. Tu gicles sur mes
lèvres. "Maintenant lèches toi les lèvres doucement pour ne perdre
aucune goutte de mon jus, montres moi à quel point tu te délectes de ce
nectar !" Je m'exécute et fais entrer ton sperme tout doucement par
petits coups de langue de gauche à droite, en remontant sans me presser.
Tu me regardes et je vois dans tes yeux que la scène te plait beaucoup.
Le tout avalé, je dois à présent nettoyer ta queue avec ma langue, pour
finir complètement dans ma bouche. Tu att****s ma tignasse et me rejette
en arrière. "Ca suffit pour l'instant ! Mais n'oublie pas, quoi que tu
fasses tu es mon esclave, mon jouet, ma chienne aujourd'hui, donc reste
à ma disposition!" Tu disparais de la cuisine me laissant un peu
abasourdie. Je n'oses pas trop aller dans l'atelier, je décides donc de
ranger un peu par là. Au bout d'un petit moment, je décide de me mettre
au boulot et de te rejoindre dans l'atelier. Tu ne dis rien, je vais te
faire un câlin et te dis que je vais me mettre à bosser. Je suis sur la
table rouge entrain de voir quel tissu je vais découper. Je t'entends
arriver derrière moi, je me retourne et vois à ton regard et ta queue
sortie et raide que tu vas me faire ma fête. Je m'échappe, tu me
ratt****s par les cheveux et couche mon buste sur la table. Tu lèves ma
jupe, regarde si je mouille et me fourre sans préavis, juste quelques
coups pour humidifier ta queue, là tu retire le bijou et m'encule bien
au fond, d'abord tout doux mais tes coups de reins deviennent vite
pressés, pressants, violents. Un peu mal mais beaucoup de plaisir
surtout que tu tires sur mes bouts de seins en même temps et que tu me
fesses. Tu jouis sur mes fesses, je sens le sperme couler le long de
chacune d'elle, jusque sur mes cuisses. "Je vais aller me doucher" te
dis je. "Non ! Reste comme ça, souillée ! Tu te laveras quand je te le
dirais ! pour l'instant va préparer à manger ! j'ai faim !!! Douches toi
juste après, je peux avoir encore besoin de ton cul !". Je file dans la
cuisine préparer le maa, puis file à la douche. Je commets l'erreur de
changer de robe et lorsque tu viens à table, tu prends calmement les
ciseaux et découpe la robe au ras de mes fesses et deux ronds pour
laisser sortir mes seins. "C'est beaucoup mieux comme ça ! Au fait,
remets toi par terre à 4 pattes, on a oublié de te remettre ton bijou !
et c'est nickel pour garder ton cul ouvert !" Je me retrouve au milieu
de la cuisine à 4 pattes par terre. "Ca t'a fait mouiller tout ça ? tu
vas de mon clito, à mon cul tout doucement, tu me pénètres avec tes
doigts et lorsque tu commences à me faire mouiller, tu lances "tama'a,
j'ai faim !". A table, aucune allusion à la matinée que tu viens de me
faire vivre. L'ambiance est cool, on parle de tout et de rien. "Tu
devrais aller faire une sieste, je te réveille dans une heure. La
journée n'est pas finie pour toi...."