NYLONS AND BONDAGE

Pourquoi flasher sur les nylons et le bondage ?

Déjà dès la prise du sachet de bas ou de collants, les en sortir, le contact doux entre mes doigts, leur odeur du neuf et l’idée de les enfiler me provoquent une érection sinon une excitation forte.
Dés les premiers contacts et à la vue de l’enveloppement de mes orteils cette excitation s’accroît et au fur et à mesure que ces nylons remontent sur ma jambe avec un léger crissement, l’érection augmente pouvant atteindre des sommets.
Lorsque le bas vient envelopper le haut de ma cuisse que mes mains saisissant la jarretelle vient frôler mon vit quel délice !
Quel délice quand une autre personne accomplit cette tâche! Surtout si elle même est nylonnée et que ses bas ou collants viennent frôler mes propres bas provoquant le crissement caractéristique des nylons entre eux !
Dans cette tache banale, pour certains et surtout certaines, tous mes sens sont sollicités : le toucher, l’odorat, l’ouie et la vue…
Cette sollicitation peut se renforcer quand le collant vient gainer deux des principales zones érogènes de mon corps à savoir mes fesses et nom sexe. Si en plus un autre collant vient gainer ma poitrine, un bas mon visage et ma bouche ; alors là toutes mes zones érogènes sont caressées par ce tissus doux comme la peau d’une femme. A la vue du résultat dans un miroir l’extase est à son maximum ! Un string ou un petit « anus picket » viendra compléter l’excitation des zones érogènes.

Il en est de même pour le bondage surtout quand il vient s’ajouter à ce que je viens de décrire ou au travestissement plus sophistiqué.
Des jambes nylonnées liées, au moindre mouvement vont accentuer le crissement et la sensation de douceur et en conséquence l’excitation du fétichiste de nylons que je suis. Des cordes (ou autres vieux collants) autour du bassin passant sur mon sexe, anus et seins, le bâillon sur et/ou dans la bouche là encore ces autres zones érogènes sont sollicitées davantage. Les mouvements plus ou moins forts du corps se tortillant dans ses liens accroît l’excitation.
Comme je le dis plus haut c’est la douceur des tissus et le confort dans ses liens qui engendrent le plaisir . Un bondage bien fait pour moi doit être confortable.
Enfin la vue dans le miroir de cet « androgyne » se trémoussant dans ses liens vient ajouter le côté femme faible soumise à toute les fantaisies érotiques de son (sa) maître(sse).
Sur ce point c’est plutôt le côté psychique qui joue, et là c’est selon les individus !

Nous sommes loin du sado maso (SM), ou c’est la douleur, la v******e, les coups qui provoquent le plaisir mutuel des 2 protagonistes. Mêmes si les zones érogènes des soumis(es) sont sollicitées elles le sont plus fortement pour ne pas dire brutalement. Collants nylon ou latex, escarpins, slips en cuir et autres anneaux au sexe, pinces aux seins et au testicules, corsets, cagoules cuir ou latex , baillons de tout type, menottes acier ou cuir, godes…sont des instruments fréquents dans le SM.
Je l’ai pratiqué avec des amis adeptes, en douceur, sans les pinces aux seins les godes…et les coups de cravache. J’avoue que, limité à ces quelques ustensiles, j’ai aimé !
Mais que ce soit le maître ou la maîtresse, tous 2 des amis, ont respecté mes désirs de non v******e, se limitant au stricte bondage et travestissement.
Cet aspect liens, baillons sont les seuls points communs avec le sado-maso. Beaucoup à tort associent les 2 d’ou BDSM.