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Le bois de Bouconnes près de Toulouse

Le bois de Bouconnes près de Toulouse

Il y avait déjà quelques temps que j'en parlais à mon amant Patou.

Je voulais aller au bois de Bouconnes à quelques kilomètres de Toulouse pour découvrir la faune qui y circulait dès que le soleil se couchait. Il m'avait raconté des aventures avec d'autres travesties un brin soumises et il avait réussi à ce qu'elles se fassent baiser par un petit nombre d'individus spécialisés dans les rencontres furtives en extérieur.

Mon innocence de l'époque me guidait vers les jeux insolites croyant y découvrir un autre pan de mon identité, une face cachée de ma bisexualité naissante.

Samedi soir avait été convenu entre nous pour faire ce transport forestier.

Après 3/4 d heure de route, nous voilà arrivés. Patou s'arrête sur un parking d'où devraient surgir des coquins en recherche de sexe. Le soleil s'est couché et les faibles éclairages laissent deviner des ombres mouvantes dans les sous-bois.
Garés sur un parking plongé dans la pénombre, je vois néanmoins dans le rétro côté passager un quidam habillé en bermuda et tongs (d'un érotisme à couper le souffle) s'approcher par l'arrière du véhicule.

Soudain le voilà qui se penche à ma hauteur en s'appuyant sur la portière passager et me demande notre recherche (Patou et moi). Je lui fais une réponse de normande et lui demande et vous ? voilà le monsieur qui répond : Un couple ou à défaut un travesti !!!
Pardon ? A défaut un travesti ? mais je ne suis pas un travesti par défaut ! Dans votre situation vous devriez chercher un travesti ou un couple ! Par défaut je refuse de jouer avec vous !
Le gars s'en va un peu dépité tandis que Patou me dit : Putain tu exagères, un mec se présente et tu l'envoies chier !
Euh oui, je n étais pas tentée de servir par défaut...j'essaye d'être mignonne et féminine et le mec cherche un couple, s'il ne trouve pas il baisera le premier cul qui pointe...non je n ai pas envie de lui faire ce plaisir !
Une fois l'homme parti, Patou me suggères d'aller marcher dans le bois histoire d'attirer les vicieux qui n'osent peut être pas s'approcher.
Habillée en jupe moulante vinyle sur des échasses noires me voilà dodelinant mon cul dans les chemins forestiers à proximité. Plongée dans l'obscurité quasi totale, mes yeux sont aux abois et je distingue vaguement à 30 mètres un mec le slip descendu jusquaux cuisses se branler allègrement. Je fais comme si je n avais rien vu et poursuis ma promenade. Je fais dépasser les bas et les jarretières de la jupe, je laisse une bretelle de soutif apparaitre pour bien montrer aux présents que je ne cherche pas du muguet ou des champignons, surtout à cette heure là ! Mon string en tulle transparente s'enfonce dans mes fesses comme happé par mon anus, il ne reste qu'un filet de tissu sur mes fesses. Je suis gagnée par une érection qui tire sur les tissus et les nerfs des voyeurs sans doute.

Mon téléphone portable bip quand je reçois un sms. Il illumine la végétation environnante. C'est un admirateur d'un site où je suis abonnée auquel j'ai donné rdv pour me rejoindre une heure auparavant. Il est sur place et me cherche dans les allées de baise. Je lui indique l'endroit exact et signale à Patou que s'il veut voir un rodéo buccal de ma part c est le moment de sortir de l'auto. Il allume les phares de l'auto et le voilà qui se précipite avec une vieille couverture sortie de son coffre qu'il jette à mes pieds.
Elle doit accueillir mes articulations. Patou m'ordonne de me mettre à genoux pour sucer les bites qui s 'approchent. Me voici, dans la nuit noire, prosternée devant des engins de chantier.
Je vois comme des lucioles incarnées par des briquets se déplacer dans la forêt. Mon admirateur éclaire sa queue avec son téléphone en mode vidéo. Il dégaine de son jeans une arme de 1ère catégorie. Son canon de 60 mm s’engouffre dans ma bouche comme une menace existentielle, comme une invasion ennemie que je dois mâter. L'enregistrement à débuté, ni bonsoir, ni échange d'amabilité, je ne dois pas parler la bouche pleine.
Sous l'oeil assidu de la caméra de l'I-Phone et de Patou qui se branle en me regardant faire, je fais une pipe pendant que d'autres armes létales ont surgi, je pompe comme un truie en massant lascivement les couilles qui pendent. J'ai envie de sortir ce bon jus qui ne demande qu'à se déconfiner. Des couilles de mec en manque sans doute, des couilles à purger. Des bonnes couilles comme je sais tant les apprécier quand je joue la putain de service. Mes longs ongles vernis ont un effet bœuf sur le mâle qui durcit un peu plus encore.
Agenouillée devant lui, devant les autres, devant des yeux rougis je me branle le clito excitée d'avoir une saucisse chaude de Toulouse entre mes lèvres. Elle est fondante, tiède et onctueuse. Je suis excitée comme jamais d'être humiliée à jouer la femme devant tant d'hommes dans ce lieu insolite, dans cette forêt connue pour l'abondance de foutre qu'elle éponge. La végétation d'ailleurs est abondante et verdoyante. La bite que je suce sent bon la douche fraîche, je suis ravie, je pensais devoir sucer des bites odorantes d'ouvrier en fin de journée et ce n'est pas le cas pour l'instant. Je suis rassurée.

Pourtant je dois déchanter quand un homme de Cro-Magnon, bedaine tombante sur un pantalon trop étroit, s'avance à son tour et m'offre une queue d'un gabarit impressionnant entourée d'une épaisse toison de poils. J'ai décidé de jouer le jeu de la bonne salope et ne refuse pas l'objet que je nettoie rapidement avec une lingette intime. Mes narines sont chatouillées par des poils hirsutes tandis qu'un gland rougeâtre se balade dans ma gueule de pute. La papy est arcbouté sur ses talons en subissant une fellation dont j'ai le secret. A ses humm de plaisir je suppose que aa vieille n'a jamais du lui sucer le nœud de cette façon. Le loup a bien fait de venir se montrer aux bois, il a trouvé le petit chaperon rouge. Je lui tire sur la bobinette et le sperme cherra. J'avale tout comme un yaourt sucré.

Je suis une salope, une moins que rien.
A ce moment précis, comme vous vous sentez lorsque vous vous lâchez, comme vous aimeriez voir votre épouse se comporter en société, je ne suis plus qu'une lope, une putain entrain de soulager des mâles en rut, j'ai abandonné ma virilité pour les exciter un max, pour satisfaire le candaulisme de Patou qui se branle le membre. Il a enfilé des bas chair et un pj et porte un vieux collant sale sur le visage.....Il a percé celui-ci au niveau de la bouche et, agenouillé à son tour, le regard fixé, le regard figé sur mon clito dur, il semble attendre, lui aussi , une offrande sexuelle sur la langue. Il bave littéralement, sa bouche est trempée comme le vagin d'une pouf. Soudain il crache sa salive sur une bite métissée qui s'offre à lui. Vexé le proprio lui att**** la tête et pistonne sa glotte avec l'énergie d'un archéologue sur un site classé. De bonne facture elle l'étouffe ,il suffoque. Il fait mine de refuser mais maintient fermement la prise avec ses lèvres boursoufflées de désir. Il astique son sexe avec frénésie. Il éructe de plaisir, projette sa semence dans les herbes hautes et, gagné par la jouissance, sans force ni résistance il s'empale la gorge sur le pieux métissé qu'il vient de soulager de façon à s'en fracturer l'os hyoïde qui l'empêcherait de déglutir les prochaines éjaculations.

Je ne suis pas en reste, j'assèche ma troisième queue du soir, je me suis fixé un objectif olympique à en sucer 10 au moins. Ma bouche est un centre d'accueil pour hommes en détresses. ceux qui attendent ne se sont pas trompés, ils savent qu'ils repartiront les yeux embués, les couilles sèches comme une figue en plein soleil, la voix chevrotante d'émotion.
ils se chamaillent devant moi à qui doublera l'autre, leurs queues sont raides d admiration à me voir sucer des membres adverses. Ils se tripotent tous sans exception de manière à m'offrir en cadeau leur sexe en pleine forme. J'en demande et j'en redemande.

A quatre pattes maintenant, comme à l'automne, je cherche les glands pour offrir à mes porcs deux lèvres de saison. J'entends des réflexions du style : quelle suceuse, putain qu'elle suce bien cette salope, elle m'a tiré la bite de sa léthargie, même ma femme n en est plus capable.
Quelle chienne quand même, grrr elle me fait bander à nouveau de la voir faire...c'est une artiste, une actrice hors pair, une comédienne de talent....elle sait comment me faire bander cette salope en remuant son cul lorsqu'elle fait ses fellations. Le voilà qui, n'écoutant que son courage, se met derrière moi et frotte sa bite entre mes fesses à la manière branlette espagnole. Il crache sur ma rosette et flirt avec son gland dessus.....avant d'entrer comme dans un hall de gare. Il est planté dans mon cul, maintient mes épaules pour les tirer à lui de façon à ramener mon corps sur sa verge au summum de sa jeunesse. Je m'enfonce dessus comme un clou dans du bois, ma charpente résiste, je m'extirpe de ce piège sexuel pour absorber le mec devant moi.
Surpris, il exprime un ohhh d'inquiétude quand il pense qu'il ne reverra plus jamais le morceau d'appendice que je viens de faire disparaitre. Je pompe son dard comme un bambin sa tétine et je retourne en arrière me faire enculer plus profond. D'une main libre passée sous mon corps, maintenue en avant et en arrière par deux piliers, je malaxe des couilles qui ne sont pas à moi.
Mes caresses ne semblent pas refroidir celui qui m'empale, au contraire, il saisit mes hanches et se déchaine en insultes, les unes plus salaces que les autres. J'ai les oreilles qui dansent comme dans un bal des débutantes. En mode travestie, j'adore me faire insulter comme une pute en chasse, entendre des mots crus me réduire à un garage à bites, des mots vulgaires faire de moi une trainée. Je suis celle qui aime les hommes un peu trop, celle qui ne dit jamais non. Celle qu'on entre, qu'on pénètre mais qu'on ne sort pas.

Je poursuis ma nuit blanche, cette sortie nocturne qui doit s'achever au petit matin en ayant soulagé les mecs tard et vidé les burnes tôt. J'en suis maintenant à 6 saucisses et je ne fatigue pas encore. Je ne sais pas pourquoi je n'ai pas été bi plus tôt. J'aurais un palmarès de partenaires à faire pâlir de jalousie Clara Morgane. Je suis devenu avec le temps, avec l'âge, la femme que tu rêves de marier, la fille que tu voudrais fréquenter, celle qui est partante pour tous tes plans Q, la copine chaudasse de tes songes les plus osés.
Le jour se lève doucement, les lumières des allées et venues incessantes des autos dans le bois n'ont pas faibli. Quel manège cette forêt. On se croirait dans un lupanar à ciel ouvert.
Une travestie qui s'aventure ici et repart sans avoir eu son compte est une mijaurée. Les hommes chasses toute la nuit et pour attaquer ma septième je sais qu'elles sont savoureuses.

Elles ont ce goût , un parfum de pins, de bruyère peut être, de romarin. Les queues qui s aventurent jusqu'à ma gueule de chienne ont traversé tant de buissons qu'elles ont des senteurs épicées. Je les respectent toutes les unes autant que les autres. Cette nuit je sais que je suis née pour sucer encore et encore....je dois honorer les mâles qui veulent se soulager, je suis à disposition de leurs volontés. Une poupée gonflable de soulagement.

Avec son briquet qui éclaire son visage un individu m'invite à rejoindre l'auto de Patou dans laquelle il compte vraisemblablement me sauter. Un timide peut être ou un pervers qui veut mettre en pratique ses fantasmes. Il ouvre les fenêtres de l'habitacle, me pousse sur la banquette arrière en mode doggystyle. Cette position surélevée lui permet de plonger sa langue et son nez dans mon cul sans se casser le dos. Le voilà entrain de repeindre à la langue la surface érotique de mes fesses, de mon anus. Il pointe sa langue à l'intérieur qu'il accompagne de gémissements quasi imperceptibles, il se paluche le sexe comme un dingue, excité par la scène dont il est acteur principale Ma bretelle de soutien gorge tombe encore dévoilant un petit sein qui ne demande qu'à être caressé.

Pendant ce temps j'ai happé une queue qui manifestait sa présence à la fenêtre passager en gesticulant en arc de cercle sur mon visage. Miam miam miam se réjouissaient mes lèvres. Les deux mains de ce matinal s'occupe gentiment de mes tétons ce qui accentue l'érection que j'ai à me faire manger le cul. Je suce plus fort du coup car je ne laisserais partir le gars uniquement s'il a les couilles vides. J'attends mon petit lait du matin avec gourmandise, je masse les testicules d'une main chaude aux ongles manucurés vernis. A me voir agir de la sorte, le bonhomme monte en température. Sa barre vitaminée est ferme comme un manche de pioche et ne demande qu'à gicler. J'attends l'offrande les reins cambrés pour mieux écouter ce qu'on dit à mon anus, le visage expressif de la bonne salope face à la queue qui s'agite vigoureusement. Patou est venu remplacer avec ses mains les caresses faites à mes seins. Il en a profité pour remonter la fenêtre arrière au point de coincer mon cou ce qui m'empêche de refuser les nouvelles pipes. La situation doit booster celui que j'ai sous la langue.. La masturbation énergique du monsieur qui termine le job tapisse mes yeux, mes joues, mes cheveux d'une crème épaisse. Il jouit et vient, son râle remonte de ses tripes. Le flux sanguin jouissif pousse le sperme en multiples jets puissants dont l'un vient s'écraser entre la fenêtre et en passant au dessus de mon corps, il frappe à un mètre, il atterrit sur une de mes fesses que Patou s'empresse de lécher en maintenant fermement mes hanches pour accentuer la prise et mieux enfuir son visage dedans. Un autre jet plus puissant encore s'éclate sur mon nez. Comme une pierre jetée dans l'eau il éclabousse le reste de mon visage lorsqu'il s'écrase. Je me retrouve inondée de sperme chaud, sur les cheveux, les lèvres, la langue. Je tends celle ci pour ramasser au mieux cette semence magnifique, ne rien laisser couler sur les sièges. Mes doigts viennent tout essuyer. Je les enfoncent dans ma bouche pour ne rien perdre en fixant l'homme qui vient de m'honorer ainsi. Il me traite de salope et s'en va alors que 2 autres types attendent de se soulager aussi.

L'un d'eux m'att**** sans ménagement et me fait sortir de l'auto alors que Patou me lèche encore le cul. Collé à mes fesses il suit le mouvement. Le malabar m'empoigne sous les fesses et me porte comme une mariée qui va à l'autel avant de me jeter sans précaution dans le coffre de l'auto. Je me retrouve au dessus de la roue de secours à 4 pattes, il tire un peu sur mes reins comme pour me faire sortir mais il rabat aussitôt le coffre qui tombe sur mon dos et laisse mes fesses à l'air libre. Coincée dans l'habitacle je suis démunie et sans défense contre toute attaque. Le gars en profite pour sortir son sexe en érection et me le plante dans les reins sans que j'ai eu le temps de protester. Ma tête frappe la carrosserie à chaque va et vient, mon cul prend cher. Je suis démontée comme une auto qui part à la casse, mon cul est en feu, les freins chauffés à blanc mais je ne peux pas arrêter le train de couilles qui me passe dessus.
J'ai vraiment le sentiment d'être une moins que rien, une trainée. Il rabaisse mon ego à rien. Je me sens soumise et mon érection suggère que j'aime l'être. Putain que c'est bon un vrai mâle !!

Il s'est régalé un long moment dans mes fesses malgré mes cris étouffés, ma volonté de ne pas résister redoublant ses ardeurs. Mes jambes gainées de bas noirs juchées sur des escarpins de 14 cms de haut sortaient du coffre. Mon cul bombé devait refléter au clair de lune comme un tableau dans une galerie d'art. J'étais exposée aux regards des voyous et passants, et je pu enfin m'extirper pour évaluer la situation. Je vis 3 mecs, à proximité, ayant revêtu des bas coutures maintenus par porte jarretelles, pantalons sur les chaussures, appuyés contre des arbres entrain de se branler à la vue que je venais de donner. Deux autres habillés de la même manière à genoux devant eux s'attardaient sur leurs sexes en suçant goulument. Sans doute s'étaient ils tous imaginés à ma place et la marre de sperme qui inondait l'arrière de l'auto attestait d'une scène érotique pour eux.

Avant de saluer la faune forestière et de rejoindre mon carrosse où Patou suçait une bite cachée sous un collant, j'allais remercier ces branleurs.
Assoiffée de ma petite soirée, l'un après l'autre, j'épongeaient des dernières gouttes qui perlaient a bout de leurs bananes. Miam.....des bananas slip
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Published by candice470
2 years ago
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lool_a
Joli poster rieur !
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belle aventure Kiss ma belle
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candice470
to kahecate : merci
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candice470
to JennieStarr : merci beaucoup
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candice470
to jennifer14 : merci d'avoir pris le temps de le lire....kiss
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jennifer14
Adore the story and the pics so sexy .more please please xxxxx
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Excellent story and great photos!
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kahecate
Merci Candice, belle histoire et jolies photos biz
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Love your pictures.
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pateva
Merci Candice pour ce superbe texte bien excitant , ah si seulement je pouvais être Patou ! bisous humides !
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candice470
to line51 : FONCEZ si le coeur vous en dit, ne regrettez pas plus tard
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line51
Merci pour ce beau récit, il me conforte dans l'idée de devenir comme vous. J'en ai plus que l'envie......Bises
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